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Ces 20 dernières années, l’art du coaching tend à orienter la préparation physique, mentale et technico-tactique selon les données récoltées chez les plus grands sportifs. Parce que les meilleurs athlètes de notre époque fonctionnent selon tel ou tel schéma, les entraîneurs reproduisent auprès de leurs coachés, la gestuelle de tel ou tel.
Si s’inspirer des meilleurs doit rester un axe de travail intéressant dans le but de nourrir de futures réussites sportives, le “copier-coller” ne sera en aucun cas la recette miracle tant espérée. La remarque de Rafael Nadal exprimée lors d’une interview indiquant selon lui ce que serait le joueur parfait en est la parfaite illustration. Il avait identifié, un profil idéal associant le service de Karlovic, le coup droit de Federer, le revers de Djokovic, la condition de Thiem, la vitesse de Monfils, etc.
Ce retour d’un tennisman qui aura marqué son époque prouve que la vérité absolue n’existe pas. Il ne possède aucune des caractéristiques à l’identique des joueurs qu’il cite, et pourtant il est entré dans l’histoire de son sport. Il n’est évidemment pas moins bon. Il possède juste des préférences de fonctionnement différentes…
Ce qui tend à rendre un mouvement efficace par rapport à un autre dépend de plusieurs composantes. Parmi celles-ci, les premières d’entre elles, sont avant tout cognitives et morpho-anatomiques, avant d’être technico-tactiques, physiques ou autres.
Elles peuvent se résumer sous la forme interrogative suivante :
Quelles préférences mon cerveau met-il en place, pour utiliser le plus efficacement possible sa structure musculo-squelettique qu’il n’a pas choisie, dans un environnement qui change en permanence ?
Bienvenue dans le monde des préférences motrices et cognitives…
Avant de comprendre concrètement en quoi, les préférences sont déterminantes dans la genèse du mouvement, il est important de s’attarder sur leur mise en évidence et les grands principes qui les régissent.
Le développement de l’approche par préférences motrices et cognitives, a démarré au début des années 90, R. Hippolyte et B. Théraulaz, deux entraîneurs de Volley-Ball de Haut Niveau se sont questionnés et interrogés sur la motricité du sportif, après avoir observé de nombreuses disparités dans l’application d’une même consigne gestuelle, en fonction des joueurs.
Ils ont associé leurs recherches entre autres, à celles de neuroscientifiques américains tels que le Dr K. Pribram et K. Benziger, qui ont permis d’établir un lien entre la manière de bouger (motricité) et le fonctionnement cérébral(1) (cognitif : prendre l’information et se décider).
Ils établiront un parallèle avec le système MBTI(2), en mettant en avant le fait que le corps ne ment pas, alors que les tests écrits usuellement pratiqués ne sont pas fiables à 100 % et dépendent de nombreux facteurs externes : tournure des questions, de l’état d’esprit de la personne, du domaine d’activité…
Riches de ces connaissances, ils ont développé plus de 200 tests moteurs simples dans lesquels ils peuvent “piocher” pour déterminer les grandes caractéristiques cognitives et motrices d’un individu.
À l’aube des années 2000, C. Gindre, chercheur en Sciences du Sport, a réalisé à son tour de nombreuses recherches qui ont complété le sujet, notamment dans le domaine de la course à pied et de la préparation physique(3)(4).
Plus concrètement…
Depuis plus de 400 millions d’années et l’apparition des premiers vertébrés, il perdure une structure commune à ceux-ci chez l’homme d’aujourd’hui : le cerveau reptilien(5).
Structure profondément ancrée à la base du cerveau (incluant principalement le cervelet et le tronc cérébral), il gère de nombreuses fonctions vitales de l’organisme telles que la respiration, la fréquence cardiaque, les besoins naturels nécessaires à la survie, les comportements primitifs et aussi et surtout l’équilibre…(6)
C’est sur cette dernière fonction que nous allons nous attarder, pour mieux comprendre le fonctionnement de l’individu dans son environnement.
L’objectif premier de l’être humain et de son système nerveux central (cerveau + moelle épinière que l’on nommera SNC) est avant tout la survie. Pour cela, il nécessite d’interagir en permanence avec ce qui l’entoure.
Il capte donc sans cesse des millions d’informations en provenance du milieu externe et de son milieu interne, puis se décide pour évoluer et s’adapter à son environnement plus ou moins contraignant.
Qui dit s’adapter dit besoin de bouger. Pour bouger, le SNC se doit de créer un déséquilibre pour amorcer et déclencher le mouvement, avec le risque de chuter à chaque nouvel appui sous l’effet de la gravité.
En cas de déséquilibre “non équilibré”, il est impossible de fonctionner durablement et surtout efficacement au quotidien.
Cette notion d’équilibre, de stabilité, est par conséquent essentielle et prime sur tout le reste.
Prenez le temps d’observer une personne âgée marchant avec une canne. Profondément instable par définition, elle fixe le sol sans cesse à la recherche de l’appui idéal, tête baissée, coupée du monde, avec occasionnellement un arrêt pour prendre un appui supplémentaire afin de pouvoir enfin relever la tête et observer ce qui l’entoure…
La stabilité dans l’action pour votre cerveau est donc PRI-MOR-DIA-LE !
C’est pourquoi, l’amorce de mouvement, qui paraît si naturelle et totalement inconsciente ne se fait pas n’importe comment.
Elle se fait selon des préférences naturelles(7)(8), non héréditaires, à l’inverse de votre morpho-anatomie (apparence et forme de votre ensemble squelette + muscles).
Elles se mettent en place dès les premières semaines de la vie in utero. Par ce biais, le SNC facilite dès les premières semaines de son existence son développement et limitera le risque de chute et donc de mort potentielle, lorsqu’il subira par la suite les premiers effets de la pesanteur.
Son objectif : équilibre, économie gestuelle et énergétique et endurance dans la répétition du mouvement pour un maximum de durabilité.
On parlera de la règle des 3 E(9) :
- Efficience
- Économie
- Efficacité
Comment faites-vous pour bouger ?
R. Hippolyte et B. Théraulaz se sont inspirés des travaux de R. Sohier(10) kinésithérapeute à la fin des années 80 qui avait identifié, 2 grandes tendances (observables de profil) pour déclencher le mouvement :
Ceux qui bougent par le haut (Marchent par le Haut = MPH)
Ils ont une préférence pour déclencher le mouvement en laissant tomber les masses hautes vers l’avant (tête + épaules correspondant à la partie haute du système nerveux central), puis les membres inférieurs accompagnent ce déséquilibre antérieur, avec un centre de gravité qui se reporte préférentiellement sur le tiers antérieur du pied.
Ils se stabilisent via leur chaîne musculaire dite d’extension, avec une composante de triple extension hanche – genou – cheville plus marquée que les “marche par le bas” décrit ci-après.
À l’observable, le tronc est légèrement incliné vers l’avant, car leur SNC est plus stable dans cet espace avant. Cet observable s’accompagne souvent d’une impression de raideur et de rebond plus moins marquée liée à l’utilisation de cette chaîne musculaire d’extension avec une dominante de fonctionnement musculaire de type excentrique.
Ceux qui bougent par le bas (Marchent par le Bas = MPB)
Ces derniers déclenchent le mouvement en mobilisant le bassin (partie basse du SNC) puis tendent d’abord la jambe vers l’avant, reportant l’appui préférentiellement sur le tiers postérieur de leur pied, avant que le tronc et la tête ne suivent le mouvement passant d’arrière vers l’avant à leur tour.
Le buste est dans ce cas plutôt droit voire légèrement incliné en arrière, car plus stable dans cet espace arrière
Il s’y associe une composante de flexion hanche-genou-cheville plus marquée et un temps d’appui au sol majoré comparativement aux “marchent par le haut”.
La stabilité dans l’action est assurée principalement par la chaîne musculaire dite de flexion, dans une dominante de fonctionnement musculaire concentrique.
La notion des chaînes musculaires dites de flexion et d’extension est issue des chaînes physiologiques de Busquet(11).
Au-delà du facteur limitant que peut représenter l’aspect morpho-anatomique, la préférence d’équilibration entre l’avant et l’arrière change tout.
Ainsi, pour évoquer quelques exemples :
- L’adjonction de chaussures à talons surélevées, de cales talonnières favorisera l’espace avant et donc les MPH.
- La réalisation de squats à amplitude complète sans correction plantaire postérieure favorisera les MPB, et sera moins favorable aux MPH.
- L’adjonction de charges additionnelles accentuera l’instabilité et donc le risque de blessures de ces derniers.
Vision et survie
À cette manière de déclencher le mouvement s’associe une composante visuelle, très importante dans le mécanisme qui régit notre système de survie.
Il fut établi, que les MPH ont une vision dominante haute(12), plutôt ce qui prédomine au-dessus de l’horizontale, ils ont donc souvent tendance à bouger sauf consigne inverse en regardant vers le Bas, zone moins facilement perceptible pour eux, avec de profil un menton plutôt rentré et une diminution de l’angle mâchoire-cou.
À l’inverse, les MPB, ont une vision dominante basse(13), ce qui prédomine sous l’horizontale, ils tendent donc à marcher avec un regard orienté plutôt droit devant, afin de mieux capter les infos de leur champ visuel haut plus ardu à percevoir pour eux, avec une augmentation de l’angle mâchoire-cou, vu de profil.
Sportivement, l’intérêt de connaître ces zones s’avère décisif. Une vision haute dominante préférera recevoir par exemple en football des ballons hauts ou à mi-hauteur. En combat, une vision basse percevra plus facilement les frappes venant d’en bas, il devra par conséquent adapter le positionnement de sa tête et de son regard pour pallier les zones hautes.
Et vous, quel est votre œil de survie ?
Vous l’aurez compris, il existe un lien fort entre votre prise d’information visuelle et votre système de survie. Au-delà de la vision haute et de la vision basse, nous possédons également tous notre oeil gauche relié à l’hémisphère cérébral droit et notre œil droit relié à l’hémisphère cérébral gauche. Même si nous regardons et percevons ce qui nous entoure avec les deux yeux, nous avons une préférence pour l’un d’entre eux lorsque l’on parle efficacité, rapidité et économie d’énergie.
En effet, on parle d’œil de survie ou d’œil moteur, parce qu’il s’agit de capter la vitesse de déplacement d’un objet, d’une personne, d’une balle, sa trajectoire. Cette notion n’a rien à voir avec l’œil directeur qui lui est principalement utilisé pour travailler sur des cibles fixes.
Votre œil de survie capte le mouvement via les cellules bâtonnets dont la rétine est richement pourvue notamment sur sa partie externe.
Chez chacun d’entre nous, il existe un côté à partir duquel nous réagirons plus vite lorsque l’action, le mouvement autour de nous proviendra de ce côté.
Par exemple, une fois stimulé, l’œil moteur gauche transmet l’information à l’hémisphère cérébral droit plutôt créatif et adaptatif, induisant un comportement et une attitude différente, par rapport à l’autre hémisphère, gauche, plutôt rationnel et s’accommodant mieux dans un environnement structuré laissant moins de place à l’incertitude.
Dans le sport de haut niveau, la connaissance de cet œil de survie est essentielle. Il constitue la porte d’entrée d’un profil moteur regroupant de multiples caractéristiques cognitivo-motrices. Dans les sports de balles (foot, hand, rugby, tennis, etc.) il aura des conséquences sur le placement d’un joueur sur le terrain, sur la détermination de zones fortes et de zones de vigilance lorsque l’on associera les différents profils de joueurs.
Idéalement chaque joueur devra se placer correctement lors de phases de jeu décisives, afin qu’il puisse avoir tous les éléments mobiles dans le champ visuel de son œil moteur dominant.
L’atteinte de l’œil de survie en sports de combat induira une obligation de fonctionner avec son œil opposé, et donc une inversion totale de motricité. On peut dès lors facilement imaginer les conséquences dévastatrices en termes de protection de son intégrité physique et de prise de décision.
La symétrie est-elle un prérequis pour être stable ?
L’approche par préférences a mise en évidence que les MPB, ont plus de besoins de symétrie, que ce soit en termes d’appui droit ou gauche, de leur positionnement dans l’espace pour percevoir les choses, pour générer de la force ou de la puissance, pour avoir le maximum de réactivité, etc.
Les MPH, sont de nature plutôt asymétriques avec souvent un côté de leur corps (gauche ou droite) qui est plus efficace lorsqu’il interagit avec son environnement à distance de bras ou de jambe, donc plutôt tendu, comparativement à l’autre côté qui lui, privilégie la proximité, et donc associe plus de flexion articulaire de ses membres pour rapprocher vers lui ce qu’il observe.
Zoom sur le comportement des 2 extrémités du SNC : associée ou dissociée dans le mouvement ?
Dans le mouvement, certains sont dits associés, c’est-à-dire, qu’ils bougent mieux, plus vites, plus efficacement et s’exposent moins à la blessure, lorsque les 2 ceintures (pelvienne et scapulaire, partie haute et basse du SNC) s’associent dans le mouvement. On peut l’observer notamment dans des mouvements rotationnels de tronc pour faire demi-tour en football, lors de frappes en sports de combat, golf ou au tennis. Pour les associés, la prudence est de mise concernant les consignes d’exécution des mouvements en préparation physique qui obligeraient à dissocier les 2 ceintures, ceci afin de ne pas venir léser les disques intervertébraux.
Les dissociés, eux, ont la capacité de positionner la moitié haute du SNC (épaules), dans un plan différent de celui du bassin (partie basse du SNC), ce qui leur autorise des orientations et des positionnements contraires aux associés, dans les changements de direction, dans les phases de démarrages, lors de la prise d’information visuelle, ainsi que les mouvements polyarticulaires liant le bas du corps au haut du corps.
Quel lien entre le cognitif et le moteur ?
Nous avons tous fait l’expérience d’observer nos proches. Notre cerveau a emmagasiné des milliers de séquences gestuelles de ces derniers dans différentes circonstances psychologiques avec ou sans stress.
Sans être forcément des spécialistes de la posture, il suffit pourtant à votre œil et votre inconscient quelques centièmes de secondes pour percevoir des signaux posturo-moteurs. Ils révèlent une probable modification d’un état psychologique, de leur fonctionnement cognitif, qui vous fait dire selon les cas que ce proche n’a : “pas l’air d’aller bien…”
Vous venez sans le savoir de faire le lien entre la manière de bouger, d’exprimer un mouvement et un fonctionnement cognitif.
Ainsi, sous stress, le SNC sollicite, adapte et modifie le positionnement du squelette dans l’espace pour s’adapter au mieux à son environnement, à ce qu’il perçoit comme étant nécessaire à son bon fonctionnement, avec plus ou moins de facilité selon la situation.
Ce stress peut parfois lorsqu’il est mal maîtrisé ou lorsqu’il atteint des degrés importants, engendrer une modification de la motricité de la personne. Celle-ci est induite par une modification de la prise d’information et de la prise de décision dans cet environnement “hostile”.
Le sportif est alors plus ou moins capable de durer dans ce nouveau schéma de motricité. Un œil moteur droit va devenir œil moteur gauche, un MPB va se mettre à fonctionner et bouger comme un MPH et tout un tas d’autres préférences motrices vont “switcher”. En revanche, un associé restera associé et un dissocié restera dissocié.
Sur le plan comportemental, un MPB est plutôt pragmatique, il aime les choses concrètes et préfère partir de ce qu’il a pour aller pas à pas vers son objectif.
Il oriente sa pensée sur le présent, utilise les éléments de son passé, de son vécu, pour interpréter son environnement et s’y adapter plus facilement. Il n’aime pas trop par nature, et sous réserve d’autres préférences, le changement et les choses qu’il ne maîtrise pas.
C’est pourquoi, sa motricité se fait en déséquilibre arrière dégageant comme une impression de prudence à la marche vers l’inconnu que représente l’espace avant. Il pose d’abord le talon au sol, centre de gravité reporté sur l’arrière lié au tronc basculé en retrait, le temps de prendre l’information. Le sol est stable, ferme, alors il s’ancre et avance d’arrière vers l’avant, tractant les masses pour aller chercher le nouvel appui.
Un MPH, lui projette d’abord les masses vers l’espace avant, en laissant basculer la tête et les épaules. À ce stade, les appuis ne se mobilisent qu’en 2e intention à l’inverse du MPB.
Le temps de contact au sol est plus court, sur le médio-avant-pied avec l’impression de passer d’un appui à l’autre plus rapidement. L’amplitude de pas plus courte, conjuguée à une certaine raideur donne une impression visuelle de rebond et de vitesse.
Sur le plan comportemental, le MPH est attiré par l’objectif final, et s’interroge seulement après sur comment y arriver. Il va plus naturellement vers ce qu’il ne connaît pas, vers le renouveau, d’où la projection de la tête en avant, base stratégique du SNC, alors qu’il n’est pourtant pas sûr, du nouvel appui à venir pour la stabiliser.
Le présent compte peu, l’impression visuelle d’abréger l’appui au sol, le concret, illustre bien cet aspect. Les tâches qui nécessitent de la répétition risquent de le fatiguer rapidement, à l’inverse d’un MPB qui lui se sentira plus rassuré dans l’exécution connue d’une consigne, d’une action, d’un travail…
Vous l’aurez compris, les consignes motrices, mais aussi et surtout avant cela cognitives dans la communication avec vos sportifs, devront être soigneusement choisies.
Elles devront être adaptées. Dans le cas contraire le risque de perdre l’attention de vos athlètes, de vos équipes lorsqu’il s’agit d’une entreprise ou de démotivation sera grand.
L’exécution, le passage à l’action et le résultat en seront fortement impactés.
Conclusion
Le principe même des préférences naturelles n’est pas de dire que l’on est soit tel profil, soit tel autre. Afin de les rendre “digestes” et accessibles à tous, il a fallu dans cet article, les simplifier au risque de catégoriser et compartimenter quelque peu.
Il faut garder à l’esprit que l’homme est un tout !
Cependant, tout comme vous avez deux mains, il en existe une plus naturelle lorsque vous avez besoin de précision, de durer, voire de performer. Quand ce n’est pas le cas et que donc, il n’est pas vital pour vous d’être efficace ou de durer dans le temps, vous utilisez votre autre main. Il se passe le même phénomène pour l’ensemble de vos préférences. L’homme est capable de tout faire, mais pas avec la même facilité.
Chacun dans sa pratique sportive, souhaite performer au mieux de ses capacités, tout en limitant les facteurs qui pourraient perturber le processus tel que la blessure, le manque de motivation, la perte d’énergie inutile, etc.
La connaissance de votre signature motrice permet de savoir comment vous devez fonctionner dans votre environnement afin d’en tirer le maximum d’informations et donc de pouvoir exprimer tout votre potentiel.
Le SNC, et plus largement l’homme exécute une action un mouvement avec toute la maîtrise dont il est capable lorsque la motivation à l’origine de ce geste, et l’application gestuelle qui en résultent, sont en parfaite adéquation avec son schéma moteur, corporel et cognitif.
Prochainement, nous verrons plus en détail l’impact moteur, que cela peut avoir dans des mouvements spécifiques.
Nous verrons comment les préférences cognitives, motrices et posturales affectent les sportifs dans leur attitude et leur gestuelle dans le contexte sportif qui est le leur…
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Sources éditoriales et fact-checking