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Le terme sciatique est utilisé pour décrire la douleur causée par une irritation du nerf sciatique situé dans la jambe. La sciatique débute dans le bas du dos, irradie profondément dans la fesse et descend le long de la jambe.
Un diagnostic de la cause sous-jacente de la sciatique est essentiel pour formuler un plan de traitement efficace et gérer la douleur de la sciatique. Lorsqu’il soupçonne une sciatique, le médecin prend connaissance des antécédents médicaux et procède à un examen physique. Des examens d’imagerie médicale (IRM) peuvent être appropriés dans certains cas.
En bref
- La sciatique est une douleur spécifique qui débute dans le bas du dos, irradie dans la fesse et descend le long de la jambe, souvent accompagnée d’engourdissement et affectant généralement une seule jambe.
- Plusieurs pathologies comme une hernie discale lombaire, sténose lombaire ou spasme musculaire peuvent provoquer la sciatique ; des facteurs de risque tels que l’obésité, le tabagisme et certaines professions augmentent la probabilité de son apparition.
- Le traitement de la sciatique varie selon la cause sous-jacente et peut inclure des mesures non chirurgicales comme la kinésithérapie, des médicaments, et des méthodes chirurgicales en cas de déficits neurologiques graves.
Que ressent-on en cas de sciatique ?
Les symptômes de la sciatique sont généralement ressentis le long du trajet du grand nerf sciatique. La sciatique est souvent caractérisée par un ou plusieurs des symptômes suivants :
- Douleur. La douleur sciatique est généralement ressentie comme une sensation de brûlure constante ou une douleur lancinante qui commence dans le bas du dos ou la fesse et irradie vers l’arrière de la cuisse et de la jambe et/ou du pied.
- Engourdissement. La douleur sciatique peut être accompagnée d’un engourdissement à l’arrière de la jambe. Parfois, des picotements et/ou une faiblesse peuvent également survenir.
- Symptômes unilatéraux. La sciatique affecte généralement une seule jambe. Elle entraîne souvent une sensation de lourdeur dans la jambe affectée. Dans de rares cas, les deux jambes peuvent être touchées en même temps.
- Douleurs induites par la posture. Les symptômes de la sciatique peuvent s’aggraver en position assise, en essayant de se lever, en fléchissant la colonne vertébrale vers l’avant, en la contorsionnant, en s’allongeant et/ou en toussant. Les symptômes peuvent être soulagés en marchant ou en appliquant de la chaleur dans la région derrière le bas du dos.
Il est important de noter que tout type de douleur dans le bas du dos ou de douleur irradiant les jambes n’est pas une sciatique. La sciatique est spécifique à la douleur qui provient du nerf sciatique.
Compression de la racine nerveuse au niveau de L4 :
- Une douleur, dans la hanche, la cuisse et les zones internes (médiales) du genou et du mollet.
- Perte de sensation sur la partie interne du mollet.
- Faiblesse des muscles de la cuisse et de la hanche qui aident à rapprocher les jambes.
- Perte du réflexe tendineux du genou (réduction du réflexe rotulien).
Compression de la racine nerveuse au niveau de L5 :
- Une douleur dans la fesse et la partie externe (latérale) de la cuisse et de la jambe.
- Perte de sensation dans la zone cutanée située entre et au-dessus du gros orteil et du deuxième orteil.
- Faiblesse des muscles de la fesse et de la jambe.
- Difficulté à bouger la cheville et à soulever le gros orteil vers le haut.
Compression de la racine nerveuse au niveau de S1 :
- Une douleur dans la fesse, à l’arrière du mollet et sur le côté du pied.
- Perte de sensation dans la partie externe du pied, y compris les troisième, quatrième et cinquième orteils.
- Difficulté à décoller le talon du sol ou à marcher sur la pointe des pieds.
- Faiblesse des muscles de la fesse et du pied.
- Perte du réflexe tendineux de la cheville.
La douleur de la sciatique survient principalement lorsque les racines nerveuses sont irritées en raison d’une inflammation, notamment à cause d’une hernie discale ou d’un spasme d’un muscle pelvien. Si un nerf est comprimé, les symptômes sont généralement intenses, entraînant une faiblesse marquée et une perte de fonction dans la jambe.
Selon la durée des symptômes et si une ou les deux jambes sont touchées, la sciatique peut être de différents types :
- Sciatique aiguë. La sciatique aiguë est une douleur du nerf sciatique d’apparition récente, d’une durée de 4 à 8 semaines. La douleur peut être autogérée et ne nécessite généralement pas de soins médicaux.
- Sciatique chronique. La sciatique chronique est une douleur persistante du nerf sciatique qui dure plus de 8 semaines et qui ne disparaît généralement pas malgré des mesures préventives. En fonction de sa cause, la sciatique chronique peut nécessiter un traitement non chirurgical ou chirurgical.
- Sciatique à bascule. La sciatique à bascule est une douleur du nerf sciatique qui affecte alternativement les deux jambes. Ce type de sciatique est rare et peut résulter de problèmes dégénératifs de l’articulation sacro-iliaque.
- Sciatique bilatérale. La sciatique bilatérale se manifeste dans les deux jambes en même temps. Ce type de sciatique est rare et peut être dû à des altérations dégénératives des vertèbres et/ou du disque à plusieurs niveaux de la colonne vertébrale, ou à des affections graves telles que le syndrome de la queue de cheval.
Le symptôme d’un trouble médical sous-jacent
La sciatique est un terme utilisé pour décrire un ensemble de symptômes causés par une pathologie sous-jacente ; il ne s’agit pas d’un diagnostic médical.
Les pathologies courantes susceptibles de provoquer une sciatique sont les suivantes :
- Une hernie discale lombaire ;
- Une sténose lombaire ;
- Une discopathie dégénérative lombaire ;
- Un spondylolisthésis ;
- Spasme musculaire et/ou inflammation des muscles lombaires et/ou pelviens ;
- Dysfonctionnement de l’articulation sacro-iliaque ;
- Dans de rares cas, des tumeurs, des caillots sanguins ou d’autres troubles au niveau du bas de la colonne vertébrale peuvent provoquer une sciatique.
En plus des termes qui identifient les pathologies sous-jacentes à l’origine de la sciatique, les termes radiculopathie lombaire ou douleur radiculaire peuvent être utilisés de manière interchangeable avec le terme sciatique.
Le nerf sciatique
Le nerf sciatique est le plus grand nerf du corps et est formé par l’union de 5 racines nerveuses au niveau de la colonne lombaire et sacrée. Il existe deux nerfs sciatiques dans le corps : le nerf droit et le nerf gauche, qui alimentent le membre inférieur correspondant.
Voici quelques caractéristiques anatomiques du nerf sciatique :
- Origine. Commençant au niveau du segment de la 4e vertèbre lombaire (L4), le nerf sciatique est formé par la réunion des racines des nerfs rachidiens de L4 à S3. Les racines nerveuses émergentes convergent en un seul nerf sciatique, ce qui en fait un grand nerf volumineux, dont le diamètre peut atteindre 1,5 cm.
- Trajectoire. Le nerf sciatique sort du bassin par le grand foramen ischiatique, sous le muscle piriforme. Le nerf parcourt ensuite l’arrière de la cuisse, la jambe, et termine son trajet dans le pied.
- Branches. Le nerf sciatique se ramifie en deux divisions principales derrière le genou : le nerf tibial et le nerf péronier commun. Le nerf tibial descend et innerve l’arrière de la jambe et la plante du pied. Le nerf péronier commun innerve l’avant de la jambe et le pied.
Les symptômes de la sciatique dépendent largement de la racine nerveuse qui est touchée. Par exemple, un pincement du nerf au niveau de L5 peut provoquer une douleur à l’arrière de la cuisse et une diminution de la capacité à soulever le gros orteil et la cheville.
Facteurs de risque
La présence de certains facteurs de risque peut augmenter la probabilité de développer une sciatique. En voici quelques exemples :
- Le tabagisme ;
- Les problèmes de santé mentale, tels que la dépression ;
- Une taille élevée chez les personnes âgées (50 à 60 ans) ;
- Obésité et surpoids ;
- Prédisposition génétique ;
- Carence en vitamine B12 ;
- Conditions physiques médiocres dues à un mode de vie sédentaire et inactif ;
- Certains types de professions (comme les conducteurs ou les charpentiers) ;
- Une mauvaise ergonomie au travail.
La présence de ces facteurs de risque n’établit pas à eux seuls la cause du développement de la sciatique. Cependant, ces facteurs, combinés à l’âge et à l’état de santé général d’une personne, peuvent jouer un rôle dans l’apparition de la sciatique.
Évolution
Généralement, ce n’est pas un événement particulier ou une blessure qui provoque une sciatique, car celle-ci tend à se développer avec le temps. La sciatique touche 10 à 40 % de la population, généralement vers l’âge de 40 ans. Elle est fréquente chez les personnes qui travaillent dans des positions physiquement éprouvantes, comme les opérateurs de machines ou les conducteurs de camions. En outre, les personnes qui fléchissent souvent leur colonne vertébrale vers l’avant ou sur le côté ou qui lèvent fréquemment les bras au-dessus du niveau des épaules risquent de souffrir d’une sciatique(1).
La grande majorité des personnes souffrant d’une sciatique se rétablissent généralement en 4 à 6 semaines grâce à une prise en charge non chirurgicale. Si des déficits neurologiques graves sont présents, la récupération peut prendre plus de temps. Toutefois, on estime que 33 % des personnes peuvent présenter des symptômes persistants après un an. En cas de compression grave du nerf et de symptômes évolutifs, une intervention chirurgicale peut être indiquée(2).
Traitement
Il est conseillé de prendre en charge une sciatique le plus tôt possible afin d’éviter la progression des symptômes. Cette prise en charge peut faire appel à des mesures de prévention et à des méthodes chirurgicales. En général, les traitements non chirurgicaux sont privilégiés. La chirurgie peut être indiquée lorsque la cause sous-jacente est grave et/ou que des déficits neurologiques avancés tels qu’une perte de motricité des jambes apparaissent.
Thérapie non chirurgicale
Parmi les moyens de traitement utilisés en première intention pour la sciatique, on trouve généralement une combinaison de soins de kinésithérapie, de médicaments, d’injections à visée thérapeutique et de solutions alternatives.
Une sciatique aiguë s’améliore généralement après 4 à 6 semaines de traitement sans chirurgie. Pour une sciatique chronique dont la douleur dure plus de 8 semaines, la durée du traitement peut être plus longue et dépend de la cause sous-jacente.
Séance de kinésithérapie
La kinésithérapie, qui combine renforcement, assouplissement et séances de musculation, est un élément central dans la plupart des plans de traitement contre la sciatique. Des exercices de rééducation peuvent également être ajoutés aux séances de kinésithérapie.
Les objectifs des séances de kinésithérapie et des exercices pour soigner la sciatique sont les suivants :
- Renforcer la colonne vertébrale et les muscles du bas du dos, des abdominaux, des fessiers et des hanches ;
- Augmenter la force musculaire des muscles profonds ;
- Assouplir les muscles raides et peu mobiles, tels que les ischio-jambiers ;
- Favoriser la circulation des sanguines dans le corps en faisant des exercices de cardio légers comme la marche ou la natation.
Bien que le repos ou un changement des habitudes puisse être nécessaire, il est important de rester actif autant que possible et d’éviter les périodes prolongées d’inactivité physique ou d’alitement.
Certains mouvements pour traiter une sciatique peuvent être spécifiques à la cause sous-jacente. Des professionnels de la santé qualifiés, tels que des kinésithérapeutes, des médecins rééducateurs, des chiropracteurs ou des coachs sportifs diplômés, peuvent aider à élaborer un programme de traitement efficace pour soulager la douleur de la sciatique en faisant du sport et des séances de kinésithérapie.
Médicaments contre la douleur
Des médicaments sur ordonnance ou en vente libre peuvent être utilisés pour soulager la douleur causée par la sciatique. Voici quelques exemples de médicaments utilisés pour soulager ces douleurs :
- Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), comme l’ibuprofène ou le naproxène ;
- Les stéroïdes oraux, tels que la prednisone ;
- Les anti-épileptique, tels que la gabapentine ;
- Les antidépresseurs tricycliques, comme l’amitriptyline ;
- Les analgésiques opioïdes, comme le tramadol ou l’oxycodone.
Ces médicaments sont généralement pris afin de réduire la douleur et de permettre au patient de participer aux séances de kinésithérapie. Les médicaments tels que les analgésiques opioïdes sont généralement prescrits pour de courtes durées afin d’éviter toute dépendance.
Thérapie chiropratique
Réalisée par un chiropracteur, cette thérapie manuelle vise à corriger le mauvais alignement de la colonne vertébrale. Cette technique peut aider à traiter les causes sous-jacentes de la douleur du nerf sciatique, comme une hernie discale ou une sténose spinale. Les manipulations peuvent également créer un meilleur environnement de guérison et ne doivent pas être douloureuses.
Massothérapie
Certaines formes de massothérapie, comme le massage des tissus profonds, peuvent avoir des effets bénéfiques sur le soulagement de la douleur. Les avantages de la massothérapie sont les suivants :
- L’amélioration de la circulation sanguine, qui à son tour crée une meilleure réponse de guérison dans le corps ;
- La relaxation des muscles tendus, qui peuvent contribuer à la douleur ;
- La libération d’endorphines, des hormones du corps qui fonctionnent comme des analgésiques naturels.
Infiltrations rachidiennes
Les infiltrations rachidiennes (injections de produits thérapeutiques dans le dos) peuvent aider à traiter la douleur impliquant le nerf sciatique.
Les injections sont utilisées dans le but de soulager suffisamment la douleur pour permettre au patient de participer pleinement à un programme de thérapies physiques et d’en tirer profit. Les injections servent également à diagnostiquer la source de la douleur et peuvent être utilisées pour identifier les nerfs concernés.
Les types d’injections les plus courantes pour soulager la douleur sciatique sont les injections épidurales de corticostéroïdes.
Ces injections peuvent aider à soulager la douleur sciatique résultant de certaines causes telles que le canal rachidien (rétrécissement du diamètre du canal spinal), la hernie discale ou la discopathie dégénérative. Ce traitement a pour principaux objectifs de limiter la réponse inflammatoire autour du nerf sciatique provoquée par une hernie discale ou un disque dégénéré.
Les corticostéroïdes injectés dans l’espace épidural se diffusent dans les terminaisons nerveuses et les autres tissus, dissipant l’effet anti-inflammatoire dans l’ensemble des structures transmettant la douleur.
Les résultats de la plupart des injections sont très variables. Certaines personnes peuvent ressentir un soulagement immédiat et durable de la douleur, d’autres peuvent ne ressentir un soulagement de la douleur que pendant quelques semaines ou quelques mois, et d’autres encore peuvent ne ressentir aucun soulagement de la douleur.
Traitement chirurgical
La chirurgie de la sciatique est généralement envisagée lorsque la douleur et/ou la déficience motrice de la jambe est persistante ou évolutive, malgré le recours à plusieurs méthodes de traitement anti-sciatique non chirurgicales. Dans certains cas, la chirurgie peut être considérée comme la première option.
Voici quelques exemples où la chirurgie est considérée comme une possibilité de traitement en première intention :
- Le syndrome de la queue de cheval : une urgence médicale où les racines nerveuses de la queue de cheval sont comprimées et où les fonctions motrices et sensorielles du bas du corps sont perdues ;
- Tumeurs, accumulation de liquide (kyste ou abcès) ou fractures graves de la colonne lombaire ;
- Sciatique bilatérale : sciatique affectant les deux jambes, pouvant être causée par une hernie discale à plusieurs niveaux, une hernie sévère à un seul étage ou un canal lombaire étroit ;
- Une infection dans la région pelvienne résistante aux traitements médicamenteux.
En outre, la chirurgie peut être envisagée lorsque la douleur et/ou la faiblesse de la jambe persiste pendant plusieurs mois malgré les thérapies non chirurgicales et/ou lorsque la douleur affecte les activités quotidiennes.
La chirurgie est pratiquée dans le but d’éliminer la cause de la sciatique et de réduire les symptômes au niveau de la jambe. En revanche, les douleurs du dos associées à la sciatique peuvent ne pas s’améliorer après la chirurgie.
Microdiscectomie
La microdiscectomie est une approche chirurgicale courante utilisée pour traiter la sciatique causée par une hernie discale lombaire. Cette opération consiste à retirer une petite partie du disque situé sous la racine nerveuse et/ou de l’os situé au-dessus de la racine nerveuse. Bien qu’il s’agisse techniquement d’une chirurgie ouverte, la microdiscectomie utilise des techniques peu invasives et peut être réalisée avec une incision relativement petite et des lésions tissulaires minimales.
Les recherches montrent que jusqu’à 86 % des patients peuvent ressentir un soulagement de la douleur de la sciatique après une microdiscectomie(3).
Chirurgie de décompression lombaire
Un certain nombre de solutions chirurgicales sont possibles pour soulager les différentes sources de compression ou d’irritation des racines nerveuses, telles que :
Laminectomie
Dans cette opération, une partie ou la totalité de la lame vertébrale est retirée afin de laisser plus de place aux nerfs rachidiens. Elle est le plus souvent pratiquée pour les douleurs de sciatique causées par un canal lombaire étroit. On estime que 75 à 90 % des patients peuvent ressentir un soulagement de la douleur après une laminectomie lombaire.
Foraminotomie
Dans cette opération, le foramen est élargi par un retrait d’une saillie osseuse, offrant ainsi plus de place à la racine nerveuse lorsqu’elle sort de la colonne vertébrale par cette ouverture.
Facettectomie
Cette intervention chirurgicale est utilisée pour soulager la compression des nerfs pincés causée par des articulations facettaires dégénérées. Les articulations facettaires sont généralement réduites, raccourcies ou retirées pour soulager la pression sur les nerfs. On estime que 85 % des patients peuvent ressentir un soulagement de la douleur après une chirurgie de facettectomie.
Le cas échéant, ces procédures peuvent être combinées et réalisées en même temps. Par exemple, une laminectomie peut être effectuée en même temps qu’une foraminotomie, et l’opération est alors appelée laminoforaminotomie. D’autres interventions peuvent être réalisées en combinaison avec les précédentes, notamment le retrait d’un ostéophyte (croissance osseuse anormale) aussi appelé “bec de perroquet”.
Comme pour toute intervention chirurgicale, un certain nombre de risques sont possibles, y compris, mais sans s’y limiter, un risque de lésion des nerfs ou de la moelle épinière, de saignement, d’infection, de formation de caillots et de persistance des symptômes après la chirurgie(4).
La décision de subir une intervention chirurgicale pour une douleur sciatique est généralement le choix du patient, à moins qu’il ne s’agisse d’une urgence médicale, comme un syndrome de la queue de cheval. La décision du patient de subir une intervention chirurgicale repose principalement sur l’intensité de la douleur et du dysfonctionnement, la durée de la douleur, l’état de santé général du patient, ainsi que sur ses préférences personnelles.
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Sources éditoriales et fact-checking